non mais franchement… 1 mois tout pile de retard, c’est pas terrible quand même. Mais c’est le prix du travail fait avec amour (quoi? ça marche pas comme excuse?).
Il y a bien des petits détails qui me chiffonnent (comment vous faites un joli ourlet en arrondi vous? et comment on fait des coutures rabattues dans une manche?). Certes ils ne se voient pas, c’est sur l’envers de la chemise, mais ça m’agaçe.
Ma machine à coudre a fait la grosse capricieuse pour les 11 boutonnières, j’ai dû en rattraper quelques unes avec un zig-zag.
Bilan de l’ouvrage :
finalement, j’ai bien fait de me lancer tout schuss pour ma première chemise pour homme dans du Liberty, chercher les défauts, c’est comme chercher Charlie, on ne les voit pas tout de suite. Il me faudra quelques années d’entrainement avant de passer au tissu uni je vous le dis!
Je m’en suis fait une montagne de cette chemise, mais en prenant bien son temps (ça va, là je sais bien faire) tout se passe bien. Je suis trop fière d’avoir vaincu le vrai col de chemise, la vraie bande de boutonnage, les vrais poignets, les coutures rabattues (bon, certes pas partout).
Liberty Tatum d’amour, chemise n°11
Le hic : monsieur a déjà choisi son prochain Liberty…
Et sinon, Fred, t’en es où de ta chemise…?